« Le problème avec la peine de mort est que toute l'attention est mise sur le meurtrier, alors qu'elle devrait être portée sur ceux qui ont été victimes de ses actes. Cette emphase mal placée est d'une évidence même lorsqu'on réalise que les services d'aide aux victimes et les programmes de prévention de la criminalité sont sous-financés, au même moment que l'on voit que l'État dépense entre 4 et 7 millions annuellement à faire vivre la peine capitale qui maintient le focus sur le meurtrier. »
Mary Healy et Jane Caron, membres de familles de victimes au Connecticut et travailleuses sociales auprès des victimes
Mary Healy et Jane Caron, membres de familles de victimes au Connecticut et travailleuses sociales auprès des victimes
NOS ACTIONS
Amnistie internationale mène une action permanente contre la peine de mort, notamment par des campagnes consacrées à des pays particuliers. Elle agit également en partenariat avec divers acteurs de la société civile.
Amnistie internationale est membre fondateur de la Coalition mondiale contre la peine de mort, qui réunit plus de 70 organisations de défense des droits humains, d’ordres d’avocats, de syndicats et de collectivités locales et régionales, soudés par leur volonté commune de débarrasser le monde de la peine capitale.
Amnistie internationale a initié en outre le Réseau asiatique contre la peine de mort (ADPAN). Créé en 2006, l’ADPAN regroupe des avocats, des parlementaires et des militants abolitionnistes de nombreux pays (Australie, Corée du Sud, Hong Kong, Inde, Indonésie, Japon, Malaisie, Mongolie, Pakistan, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Singapour, Taiwan et Thaïlande, entre autres).
Amnistie internationale mène une action permanente contre la peine de mort, notamment par des campagnes consacrées à des pays particuliers. Elle agit également en partenariat avec divers acteurs de la société civile.
Amnistie internationale est membre fondateur de la Coalition mondiale contre la peine de mort, qui réunit plus de 70 organisations de défense des droits humains, d’ordres d’avocats, de syndicats et de collectivités locales et régionales, soudés par leur volonté commune de débarrasser le monde de la peine capitale.
Amnistie internationale a initié en outre le Réseau asiatique contre la peine de mort (ADPAN). Créé en 2006, l’ADPAN regroupe des avocats, des parlementaires et des militants abolitionnistes de nombreux pays (Australie, Corée du Sud, Hong Kong, Inde, Indonésie, Japon, Malaisie, Mongolie, Pakistan, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Singapour, Taiwan et Thaïlande, entre autres).