« Mon père est décédé à la suite de sa peine et de sa dépression, et ma mère ne cesse de prier et de pleurer. Nous avons été traités comme des criminels plusieurs fois. Nous sommes devenus des victimes invisibles, des tourmentés, des méprisables, nous sommes devenus des ennemis de l’État. »
Martina Correia, soeur de Troy Davis, exécuté en Géorgie
Martina Correia, soeur de Troy Davis, exécuté en Géorgie
CALENDRIER
Ensemble nous agissons pour mettre fin au recours à la peine de mort dans le monde. Rejoignez notre combat !
Dates à souligner et nos événements à venir
24 février 2021 : Conférence "Autopsie d'une exécution - mythes et réalités de la peine de mort" en criminologie de l'Université de Montréal
7 novmbre 2021 : Ateliers "Correspondances dans le couloir de la mort" au Congrès des jeunes d'Amnistie à Trois-Rivières
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Dates à souligner et nos événements à venir
24 février 2021 : Conférence "Autopsie d'une exécution - mythes et réalités de la peine de mort" en criminologie de l'Université de Montréal
7 novmbre 2021 : Ateliers "Correspondances dans le couloir de la mort" au Congrès des jeunes d'Amnistie à Trois-Rivières

Mi-décembre
Résolution de l’Assemblée générale de l’ONU sur la peine de mort
Les États membres de l’Organisation des Nations unies (ONU), à une écrasante majorité, ont une fois de plus apporté leur soutien à un projet de résolution de l'Assemblée générale des Nations unies visant à établir un moratoire sur les exécutions, en vue de l’abolition de la peine de mort. Cent quinze des 193 États membres de l'ONU se sont prononcés en faveur de ce texte, et 38 seulement contre.
Depuis 2007, six résolutions de l’AGNU ont appelé à l’instauration d’un moratoire mondial sur la peine de mort, et celui-ci suscite une adhésion plus forte à chaque fois.
Bien que non légalement contraignantes, les résolutions portent un poids politique et moral considérable. L’adoption de ces résolutions innovatrices à l’ONU génère un momentum au sein de la société civile et des organisations gouvernementales internationales afin de renouveler leur engagement en vue de l’abolition.
Résolution de l’Assemblée générale de l’ONU sur la peine de mort
Les États membres de l’Organisation des Nations unies (ONU), à une écrasante majorité, ont une fois de plus apporté leur soutien à un projet de résolution de l'Assemblée générale des Nations unies visant à établir un moratoire sur les exécutions, en vue de l’abolition de la peine de mort. Cent quinze des 193 États membres de l'ONU se sont prononcés en faveur de ce texte, et 38 seulement contre.
Depuis 2007, six résolutions de l’AGNU ont appelé à l’instauration d’un moratoire mondial sur la peine de mort, et celui-ci suscite une adhésion plus forte à chaque fois.
Bien que non légalement contraignantes, les résolutions portent un poids politique et moral considérable. L’adoption de ces résolutions innovatrices à l’ONU génère un momentum au sein de la société civile et des organisations gouvernementales internationales afin de renouveler leur engagement en vue de l’abolition.

Début avril
Lancement annuel des statistiques sur la peine de mort d'Amnistie internationale
Le rapport annuel ne porte que sur l'utilisation judiciaire de la peine de mort. Les chiffres mentionnés sont les plus hauts dont on peut être certain d'après les informations dont dispose Amnistie internationale.
Nous insistons sur le fait que, dans certains pays, les chiffres réels sont considérablement plus élevés.
Certains États dissimulent sciemment les procès conduisant à la peine de mort, d’autres ne comptabilisent pas les condamnations à mort et exécutions ou ne communiquent pas ces chiffres.
Le recours à la peine de mort en 2019
En 2019, 20 pays ont procédé à des exécutions et au moins 54 pays ont prononcé des condamnations à la peine capitale. ( Lire )
Lancement annuel des statistiques sur la peine de mort d'Amnistie internationale
Le rapport annuel ne porte que sur l'utilisation judiciaire de la peine de mort. Les chiffres mentionnés sont les plus hauts dont on peut être certain d'après les informations dont dispose Amnistie internationale.
Nous insistons sur le fait que, dans certains pays, les chiffres réels sont considérablement plus élevés.
Certains États dissimulent sciemment les procès conduisant à la peine de mort, d’autres ne comptabilisent pas les condamnations à mort et exécutions ou ne communiquent pas ces chiffres.
Le recours à la peine de mort en 2019
En 2019, 20 pays ont procédé à des exécutions et au moins 54 pays ont prononcé des condamnations à la peine capitale. ( Lire )