ÉTATS-UNIS (FÉDÉRAL)Ammar al Baluchi risque la peine de mort à une commission militaire à Guantanamo.
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Écrire à :
Secrétaire de la Défense des États-Unis
Jim Mattis
Secretary of Defense
1000 Defense Pentagon
Washington DC 20301-1000, USA
Télécopieur : + 1 703 571 8951
Courriel : http://execsec.defense.gov/Contact-Us/
Formule d’appel : Dear Secretary of Defense, / Monsieur,
Copies à :
Ambassadrice des États-Unis
Ambassadrice Kelly Knight Craft
Ambassade des États-Unis
490, chemin Sussex
Ottawa, Ontario
K1N 1G8, Canada
Télécopieur : 613-688-3082
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Ammar al Baluchi risque la peine de mort à son procès à venir devant une commission militaire à la base navale américaine de Guantánamo Bay à Cuba. Il a été accusé, avec quatre autres hommes, de crimes reliés aux attaques du 11 septembre 2001 alors que près de 3000 personnes ont été tuées. Plus spécifiquement, Ammar al Baluchi a été accusé d’avoir transféré des fonds à des hommes impliqués subséquemment dans le détournement d’avions le 11 septembre 2001.
Ammar al Baluchi est né aux Koweït, où il a passé son enfance. Alors qu’il était adolescent, il a déménagé avec ses parents et des proches au Baloutchistan en Iran. Il a étudié l’informatique et les technologies de l’information au secondaire et dans ses études post-secondaire. Il a ensuite éventuellement déménagé aux Émirats arabes unis où il a débuté une carrière en technologie de l’information.
À la mi-2001, Ammar al Baluchi a voyagé au Pakistan où il se trouvait le 11 septembre 2001. Il a été arrêté par les forces de sécurité pakistanaises le 29 avril 2003. Il a ensuite été remis à l’Agence centrale de renseignement (CIA) en Afghanistan le mois suivant, autour du 15 mai. Il a été détenu en isolement cellulaire à de nombreux lieux de détention secrets par la CIA jusqu’à la première semaine de septembre 2006, alors qu’il a été transféré à Guantánamo, où il se trouve encore aujourd’hui.
Aux mains de la CIA en secret, Ammar al Baluchi a été soumis à la disparition forcée et à de la torture et d’autres mauvais traitements. Entre autres choses, il aurait été soumis à une technique où la tête du détenu est fracassée à plusieurs reprises contre un mur, à être suspendu au plafond de sa cellule, à de la nudité forcée, de la musique forte, la noirceur et des menaces. Les lieux de détention durant les trois années et demie aux mains de la CIA et les détails au sujet de la manière qu’il a été traité demeurent classifiés top secret. La liste des pays dans lesquels la CIA opérait des « sites » au moment de la détention aux mains de la CIA d’Ammar al Baluchi inclurait l’Afghanistan, la Pologne, la Roumanie, Cuba (Guantánamo), le Maroc et la Lituanie. À la base militaire de Guantánamo, où il est détenu depuis plus d’une décennie, il est gardé au Camp 7, où les conditions de détention sont classifiées top secret.
Selon ses avocats, Ammar al Baluchi démontre des symptômes de désordre de stress post-traumatique et des lésions au cerveau sévères résultant de la torture et d’autre mauvais traitements infligés pendant sa détention par la CIA. Parmi les autres symptômes, ils affirment qu’il est incapable de se concentrer sur des périodes prolongées, ou de lire sans perdre sa concentration, et souffre d’étourdissements et de fonctions motrices réduites. De nombreuses demandes formelles pour une assistance médicale complète pour Ammar al Baluchi ont été refusées par un juge militaire et les autorités. En raison de ses blessures physiques et psychologiques et de troubles mentaux apparents, ses avocats affirment que sa capacité à les aider dans la préparation de sa défense et à participer de manière significative aux audiences préliminaires est substantiellement réduite.
Ammar al Baluchi est né aux Koweït, où il a passé son enfance. Alors qu’il était adolescent, il a déménagé avec ses parents et des proches au Baloutchistan en Iran. Il a étudié l’informatique et les technologies de l’information au secondaire et dans ses études post-secondaire. Il a ensuite éventuellement déménagé aux Émirats arabes unis où il a débuté une carrière en technologie de l’information.
À la mi-2001, Ammar al Baluchi a voyagé au Pakistan où il se trouvait le 11 septembre 2001. Il a été arrêté par les forces de sécurité pakistanaises le 29 avril 2003. Il a ensuite été remis à l’Agence centrale de renseignement (CIA) en Afghanistan le mois suivant, autour du 15 mai. Il a été détenu en isolement cellulaire à de nombreux lieux de détention secrets par la CIA jusqu’à la première semaine de septembre 2006, alors qu’il a été transféré à Guantánamo, où il se trouve encore aujourd’hui.
Aux mains de la CIA en secret, Ammar al Baluchi a été soumis à la disparition forcée et à de la torture et d’autres mauvais traitements. Entre autres choses, il aurait été soumis à une technique où la tête du détenu est fracassée à plusieurs reprises contre un mur, à être suspendu au plafond de sa cellule, à de la nudité forcée, de la musique forte, la noirceur et des menaces. Les lieux de détention durant les trois années et demie aux mains de la CIA et les détails au sujet de la manière qu’il a été traité demeurent classifiés top secret. La liste des pays dans lesquels la CIA opérait des « sites » au moment de la détention aux mains de la CIA d’Ammar al Baluchi inclurait l’Afghanistan, la Pologne, la Roumanie, Cuba (Guantánamo), le Maroc et la Lituanie. À la base militaire de Guantánamo, où il est détenu depuis plus d’une décennie, il est gardé au Camp 7, où les conditions de détention sont classifiées top secret.
Selon ses avocats, Ammar al Baluchi démontre des symptômes de désordre de stress post-traumatique et des lésions au cerveau sévères résultant de la torture et d’autre mauvais traitements infligés pendant sa détention par la CIA. Parmi les autres symptômes, ils affirment qu’il est incapable de se concentrer sur des périodes prolongées, ou de lire sans perdre sa concentration, et souffre d’étourdissements et de fonctions motrices réduites. De nombreuses demandes formelles pour une assistance médicale complète pour Ammar al Baluchi ont été refusées par un juge militaire et les autorités. En raison de ses blessures physiques et psychologiques et de troubles mentaux apparents, ses avocats affirment que sa capacité à les aider dans la préparation de sa défense et à participer de manière significative aux audiences préliminaires est substantiellement réduite.